26 septembre 2013

Prix jeunesse des libraires du Québec


Le 26 septembre, Les Voleurs de mémoire a gagné le Prix jeunesse desLibraires du Québec 2013, volet 12-17 ans. Je suis très content.

Voici le texte de mes remerciements:
Mercis
En 2001, j’ai publié Les Voleurs d’espoir à la courte échelle. Je ne savais pas jusqu’où ça me mènerait. Mon éditrice non plus, j’imagine.
Merci Hélène.
En 2011, j’ai raconté sur mon blogue que j’avais toujours pensé à une suite aux Voleurs d’espoir. Mon éditrice jeunesse Nadine Robert a lu mon billet et m’a aussitôt invité à écrire ce deuxième tome.
Merci Nadine.
Je voulais me plonger un peu plus dans le futur, dans un Québec recouvert de sable, en proie à un terrible réchauffement de la planète. Mais je cherchais un nouveau problème à régler. Ma blonde m’a soufflé celui des maladies de la mémoire.
Merci Lyne.
Ensuite, il y a eu tout le travail de réécriture des Voleurs de mémoire, mené de main de maître par ma directrice littéraire May Sansregret. Le résultat parle aujourd’hui de lui-même.
Merci May.
Enfin, il y a ce prix dont je suis très fier. Le premier que je reçois pour un roman et qui m’a donné l’envie d’inventer un troisième volet à mes Voleurs, encore plus loin dans un futur disjoncté.
Merci les libraires.

06 septembre 2013

La Fonction, critiques magazines


Mieux vaut tard que jamais. Deux magazines littéraires parlent de La Fonction dans leurs numéros de l'automne 2013. Comme c'est plutôt très bon, je partage.

Dans Québec Français, Ginette Berntachez propose une critique très positive qui se finit ainsi: «... En signant un roman noir qui ne donne jamais dans le manichéisme simpliste, son auteur combat avec bonheur les clichés réducteurs qui dévaluent parfois le genre.»

Dans Lettres Québécoises, section science-fiction, Annabelle Moreau écrit: «... L'écriture incisive et directe d'André Marois découpe finement leur aventure, qui prend le forme d'un thriller palpitant. Si le thème du voyage ou du retour dans le temps est depuis longtemps un classique de la science-fiction, Marois se le réappropie à merveille et dépeint les effets pervers de cette possibilité du retour dans le temps des hommes...»