Ce qu’il reste le plus de toutes mes lectures, en très peu de mots.
— Toutes les couleurs de la nuit de Chris Whitaker — Fabuleuse histoire d’amour et d’amitié qui traverse le temps, un long roman magistral.
— La société des arbres de Natalie Jean — Autofiction libre, où l’amour, la nature et la joie ont rendez-vous avec l’écriture.
— La maison vide de Laurent Mauvignier — Une poignante traversée du XXe siècle autour de la grand-mère et de l'arrière-grand-mère de l'auteur. Quand la mémoire familiale se raconte en se faufilant dans la maison de Marguerite et Marie-Ernestine.
— La petite fasciste de Jérôme Leroy — Efficace, lucide, antifa.
— Veuve chose de Michael Delisle — Pour le ton, l’originalité, la concision, le plaisir du jamais lu.
— Moi, les parapluies de François Barcelo — Hommage à l’humour, à l’écrivain, à un roman pas banal qui l’a fait entrer à la Série Noire
— La colline qui travaille de Philippe Manevy — Chronique juste, directe et vraie d’une famille ouvrière lyonnaise.
— Les yeux clos de Philippe Yong — Un journaliste veut retrouver les acteurs de faits divers qui l’ont marqué. Sortir du virtuel pour plonger dans la réalité.
— Implosion de Laurence Florisca Rivard — Le point de vue de trois victimes collatérales de celui qui a commis l’irréparable. Très efficace et pertinent.
Un Film: Aucun autre choix de Park Chan-wook — Nouvelle adaptation (après Costa-Gavras) du roman Le Couperet de Donald Westlake. Magnifique comédie noire à la logique implacable.


