«Et ton livre, ça marche? T'en vends beaucoup?»
Question classique entendue des dizaines de fois. Comment savoir? Je recevrais mon rapport de vente dans un an. Là, je saurai combien de lecteurs se sont appropriés mon histoire. Ou non. En attendant, je guette les éventuelles critiques et, surtout, j'écris un nouveau livre.
Oui, l'écrivain a envie d'être lu. Ça motive et ça fait vivre. Mais à partir du moment où son bouquin se trouve sur les tablettes des libraires, il n'a plus qu'à croiser les doigts et à inventer une autre fiction. Ce que je fais en ce moment. Allez, j'y retourne.
17 décembre 2008
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Salut André!
RépondreSupprimerJ'ai reçu tes 4 premiers epizzod par la poste ce matin. Un article sur ta série paraîtra dans un des 2 prochains numéros de la revue Clair/Obscur. Je te ferai signe à ce moment-là!
Invité par M à lire le commentaire.
RépondreSupprimerContent de voir que cette question, pour un petit nouveau comme moi, est un «classique» et que la réaction est tout à fait partagée.
Un autre grand classique: «Où on trouve tes livres ?»
RépondreSupprimerJ'y reviendrai...
remarque que pour moi, présentement, c'est assez facile de savoir combien j'en ai vendu: le livre n'est pas encore en librarie! J'ai fait toutes les ventes moi-même, ou en salon du livre!
RépondreSupprimerCher M,
RépondreSupprimerLes rapports de vente des éditeurs sont parfois des casse-têtes insondables. Au moins, tu sais à quoi t'en tenir.
J'ai vu que Michel Vézia parle de toi dans le dernier Ici...