Photo: Marie-Reine Mattera
Les écrivains sont toujours en attente de critiques, mais pas de coups bas.
Celle-ci se termine mieux qu’elle ne commence : « André Marois, connu entre autres pour Les effets sont secondaires, paru en 2003, construit le roman efficace d'une vengeance froide et calculée. La finale y est plutôt saisissante.» Heureusement que M. Desmeules n’a pas non plus raconté la fin.
Lisez plutôt la critique de Norbert Spehner dans le numéro 34 d’Alibis. Un texte sans complaisance, mais juste et constructif. J'aime beaucoup «un dénouement tragique et maroisement machiavélique!»
qui est ce beau cineaste?
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