02 avril 2010

Encore des critiques!

J'avoue que je ne m'en lasse pas...

Dans le magazine Le Libraire et sur le site du même nom, une critique de Caroline Larouche, libraire chez Les Bouquinistes:
«... Un roman original empreint de suspense tout au long. On le lit d’une traite tellement il nous captive, de la première à la dernière page. À découvrir absolument!»

Sur le site français Duclock, réservoir culturel, une lecture signée par Caroline:
«... Les passages un peu sanglants plairont aux amateurs de sensations fortes, mais à mon sens le roman réussit surtout une fin assez terrible qui redonne du poids à l’ensemble...»

Enfin, sur Culture-Hebdo:
« Elle s’appelle Clara. Jadis elle a été agressée sexuellement. Et cela l’a stigmatisée à jamais. Exilée à Paris pour faire le vide, son retour au Québec sonne l’heure de la vengeance. Vous allez voir par quel moyen radical elle va se faire justice. Brrr!!! C’est à André Marois que l’on doit ce drame de mœurs. Comme une bonne majorité de femmes au Québec ont été victimes d’agressions sexuelles, il trouvera sans doute chez elles un vaste lectorat captif. C’est mené rondement avec aucun temps mort.»

(On aurait tort de se plaindre.)



4 commentaires:

  1. Puis-je cependant me demander d'où culture-hebdo sort que une "bonne majorité de femmes au Québec ont été victimes d'agressions sexuelles"?!?!

    C'est un crime courant, mais faudrait pas exagérer. Le vol à l'étalage reste plus fréquent!!!

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  2. Absolument d'accord. J'ai même écrit un roman jeunesse sur ce thème...

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  3. Cette statistique ne vient-elle pas d'une étude publiée il y a peut-être une dizaine d'années où, de mémoire, on arrivait à faire dire aux chiffres que quelque chose comme 75 % des femmes au Québec avait subi une agression sexuelle. On avait un concept assez large d'agression sexuelle puisque on y incluait les insultes verbales, le criage de noms à caractère sexuel, etc. La fille qui se faisait dire Grosse pétasse était victime d'une agression sexuelle. Cette étude avait été décriée par à peu près tout le monde, il me semble.

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  4. Après ce genre de statistique stupide, les filles qui sont vraiment victimes d'une agression peuvent ben être traumatisées.

    Imaginez : elles pensaient que "Grosse conne", c'était un viol... :S

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