Voici ma suite, déjà en ligne:
«Luc maugréa de vagues condoléances, puis se dirigea vers la caisse enregistreuse et la délesta de ses quelques billets froissés. Il attrapa la bouteille de chinon sous le comptoir, en avala une longue rasade et rota.
Il vérifia que le cadavre ne risquait pas de tomber et commença à le déshabiller. Les fringues sentaient la misère et la merde.
Luc s'immobilisa : il y avait un truc bizarre tatoué sur le sein gauche.»
Les commentaires pleuvent!
Bonne chance aux 78 auteurs qui vont inventer le reste de l’histoire...
20 août 2010
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