J’apparais à la page 320 du DialAf : le Dictionnaire des auteurs des littératures de l’imaginaire en Amérique française. L’ouvrage de 535 pages, réalisé par Claude Janelle, répertorie tous les auteurs d’œuvres de fantastique, de science-fiction et de fantasy, de ce côté-ci de la planète. C’est un travail titanesque, mais il y a des gens qui sont passionnés.
Bien que je sois plutôt classé dans le polar au sens large, mon premier roman jeunesse Un ami qui te veut du mal était clairement dans la veine fantastique. Quant aux Voleurs d’espoir, c’est un livre de science-fiction. D’où ma place dans ce DialAf.
Il semble bien que mes prochains livres flirteront encore avec ce genre.
Côté pur polar, je suis très heureux de cette critique parue dans le numéro hors série du Libraire, spécial littérature québécoise, sous la plume de Cynthia Brisson :
«Prenez le discret Petit feu, publié à La courte échelle. A-t-il été avalé par la vague des romans suédois ou pire encore, vampirisé par une Charlaine Harris ou un Stephenie Meyer ? Quoi qu’il en soit, les nouvelles d’André Marois auraient mérité une plus grande visibilité. Ces vingt-trois histoires courtes, mettant en vedette la Grande Faucheuse, se déploient dans un univers noir, grinçant et teinté de l’humour irrésistible de l’auteur de Sa propre mort. Des microfictions à savourer cet hiver, au coin du feu.»
Trop fort.
RépondreSupprimerG.
Le dico, ça l'fait.
RépondreSupprimerÀ part la couve, peut être, pas sûr de la fleur de lys en papier.
RépondreSupprimerG.
Pas sûr non plus. Je préfère Petit feu, et de loin...
RépondreSupprimerNotre nom dans le dictionnaire ça ne trompe jamais: c'est le début de l'immortalité (je n'ai pas écrit «l'Immoralité») — et ce n'est notre ami Luc qui me contredira. Longue vie et gloire éternelle à toi, André.
RépondreSupprimerJe n'en demande pas tant, Patrice. Mais s'il est vrai que le plus dur, c'est de durer, alors j'aurais au moins tenu le coup une douzaine d'années...
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