Pour écrire Les voleurs d’espoir, j’avais dressé une liste des traits
marquants du Québec : l’hiver, le français, le désir d’indépendance, la
faible natalité, puis je les ai tous exagérés et poussés à l’extrême.
Ça m’a donné un monde gelé, un pays francophone
devenu stérile et un héros de 14 ans : Hugo, le dernier-né des Québécois.
Un ado en quête de justice au cœur d’un réso virtuel. L’histoire pouvait
commencer. Elle se situe en 2024.
Sans le savoir, j’avais écrit une dystopie – un genre littéraire
appartenant à la science-fiction, contraire à l’utopie, car il décrit une
société imaginaire qui empêche le bonheur de ses citoyens.
Pour Les voleurs de mémoire, j’ai été
guidé par le réchauffement climatique et le spectre des maladies de la mémoire.
En 2039, le Québec n’est plus qu’un vaste désert où sévit une terrible
maladie : la grure. Hugo cède la place à sa jeune sœur Lolla, 14 ans,
l’Ainée de la nouvelle génération. L’histoire pouvait continuer. Elle a lieu en 2039.
Les deux livres arrivent en librairie au
Québec le 23 janvier.
Je suis heureuse de voir que Les voleurs d'espoir connaît une réédition, même si j'ai déjà la version Courte échelle. Ce roman m'était apparu idéal pour faire découvrir une science-fiction de qualité aux plus jeunes. Je suis donc curieuse de découvrir la suite, soit Les voleurs de mémoire.
RépondreSupprimerMerci pour ce commentaire, Eden. La suite est dans la lignée des Voleurs d'espoir, mais avec de nouveaux enjeux et une nouvelle héroïne: Lolla... Bonne lecture.
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