Après trois semaine superbes sur la côte Nord, Nous partons en Europe jusqu'en juin 19.
D'abord Berlin, puis on verra.
La maison est louée, le chalet est en bonnes mains, l'auto est prêtée.
Sac à dos, ordinateur, carnet de croquis.
Nous allons nourrir notre tête ailleurs, créer, profiter de la vie.
Je donnerai des nouvelles ici et sur ma page Facebook.
Le numéro de mon téléphone cellulaire ne sera plus joignable à partir du
1er octobre, mais je serai toujours au bout de mon courriel ou sur
Messenger et autre Skype.
À bientôt, ici ou là.
25 septembre 2018
30 août 2018
Mystères à l'école
Après Meurtres
à la Librairie, à la Bibliothèque (auquel j’ai participé) et au Musée,
Richard Mignault lance Mystères à l’école aux
éditions Druide. Un recueil de nouvelles policières qui s’adresse cette fois-ci aux jeunes. Nous sommes 14 auteur-trices à
partager ces 280 pages :
Chantal Beauregard, Geneviève Blouin, Simon
Boulerice, Laurent Chabin, Evelyne Gauthier, Karine Lambert, Martine Latulippe,
André Marois, Chloé Varin, Pierre-Yves Villeneuve, Léo Le Brun, Sonia Sarfati, Robert
Soulières et Suzanne Myre.
J’y signe une
nouvelle intitulée Encanador ! où
un garçon découvre un jeune inconnu dans le couloir de son école. Celui-ci ne semble
savoir dire qu’un mot
étrange : encanador. L’enquête de notre héros lui fera découvrir
l’identité du mystérieux
personnage et l’amènera à
se poser des questions sur l’école
obligatoire et les immigrants illégaux.
En librairie dès le 12 septembre 2018.
Lancement le 18 septembre à la librairie de Verdun.
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Lancement le 18 septembre à la librairie de Verdun.
Publié par
André Marois
Catégorie :
Éditions Druide,
Mystères à l'école,
Recueils de nouvelles
28 juillet 2018
Une appli pour lire?
À
la suite de notre Prix des Incorruptibles 2016 en France, l’association du même
nom nous a proposé d’offrir Le Voleur de sandwichs dans une application disponible seulement pendant l’été 2018. Au
menu : notre livre à lire en ligne, mais aussi des liens vers d’autres
livres, nos portraits, une vidéo, un quiz et autres. C’est simple, bien fait,
ludique.
Les
jeunes liront-ils plus ainsi ? Liront-ils mieux ? Je n’ai aucun moyen
d’en juger. Je pense qu’offrir un support supplémentaire de lecture ne peut pas
nuire. Surtout, cette appli n’est pas la finalité de notre livre, elle n’est
qu’un moyen temporaire et supplémentaire, après-coup, de le rendre accessible
aux jeunes lecteurs et lectrices.
Il y a 7 applications numériques d’été
des Incos disponibles sur Google Play Store et Apple Store. La notre est celle
des CE2-CM1. Elles sont toutes gratuites.
C’est
à suivre, donc.
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16 juillet 2018
Ravi du Ravinala
Le Voleur de Sandwichs continue de plaire aux jeunes lecteurs. Après le Prix des incorruptibles en France et le prix Atrapallibres à Barcelone, il vient d'obtenir le premier prix dans le cadre du prix littéraire Ravinala du livre voyageur / Madagascar (catégorie CE2 / CM1).
534 élèves des classes de CE2 et CM1 ont participé à ce vote.
Les résultats ont été annoncés officiellement lors de la première édition de la semaine de la littérature de jeunesse de Tananarive.
Merci aux jeunes lecteurs et lectrices de l'Océan Indien.
534 élèves des classes de CE2 et CM1 ont participé à ce vote.
Les résultats ont été annoncés officiellement lors de la première édition de la semaine de la littérature de jeunesse de Tananarive.
Merci aux jeunes lecteurs et lectrices de l'Océan Indien.
07 juillet 2018
Réimpression, j'écris ton nom.
Réimpression : pour l’écrivain,
ce mot sonne comme l’exact opposé de pilon.
Le premier déclenche des sourires, le second nous plonge dans le doute et la
déprime.
J’en
parle ici, parce que j’apprends que mon roman jeunesse Blanc comme la mort vient d’être réimprimé pour la première fois
depuis sa parution en 2000. C’est une sacrée belle surprise.
Ce
qui est formidable, c’est que 18 ans plus tard, mon histoire vit encore. Elle
rencontre de nouveaux lecteurs et lectrices. Youpi !
Pourquoi
cet intérêt pour ce livre ? La réponse se trouve forcément du côté des
écoles. Un.e professeur.e aura décidé de mettre Blanc comme la mort à l’étude. C’est la seule explication possible,
car c’est ce qui se produit avec Les Voleurs de mémoire et Où est Agota ?
Pour La
Forêt des insoumis, jamais je n’aurais imaginé qu’un livre qui traite
des insoumis québécois pendant la première guerre mondiale connaitrait un
nouveau tirage. Mais là aussi, le sujet intéresse en classe et mon atelier sur Le Québec en guerre permet d’aborder ce
sujet difficile.
Côté
pilon, d’autres livres disparaissent sans jamais avoir trouvé leur lectorat. On
procède à des réductions d’inventaire, on coupe dans les stocks. On pilonne,
quoi, même si ce terme est proscrit.
Dans
certains cas, je me dis, OK, ce n’était peut-être pas mon meilleur. D’autres
échecs, par contre, restent plus inexplicables. Mes amis ont aimé ces romans. La
critique aussi. Alors, que se passe-t-il ? Allez savoir ; la
littérature n’est pas une science, fort heureusement.
Mon
record personnel reste Le Voleur de sandwichs qui en est à
sa 6e réimpression.
Publié par
André Marois
Catégorie :
Blanc comme la mort,
La forêt des insoumis,
Voleur de sandwichs
19 juin 2018
Le Montréaler
Parce que j'aime Montréal, le vélo, le chant et les histoires sombres, j'ai écrit une courte histoire intitulée «À nous la rue!» dans cette édition spéciale du Montréaler, publiée par Somme toute.
Le livre regroupe 60 artistes: illustrateurs.trices et auteurs.trices.
Le lancement aura lieu le 21 juin à 17h, à la Station F-MR.
Le livre regroupe 60 artistes: illustrateurs.trices et auteurs.trices.
Le lancement aura lieu le 21 juin à 17h, à la Station F-MR.
16 juin 2018
Gémeaux ?!
Tout Garni se retrouve 4 fois finalistes aux Prix Gémeaux 2018.
Pour ma part, je suis finaliste dans la catégorie Meilleur texte pour une émission ou série produite pour les médias numériques : jeunesse.
C'est ma première sélection et je vois bien qu'il y a 3000 finalistes, mais c'est quand même vraiment chouette.
Bravo à toutes celles et ceux qui ont participé au projet!
Pour ma part, je suis finaliste dans la catégorie Meilleur texte pour une émission ou série produite pour les médias numériques : jeunesse.
C'est ma première sélection et je vois bien qu'il y a 3000 finalistes, mais c'est quand même vraiment chouette.
Bravo à toutes celles et ceux qui ont participé au projet!
31 mai 2018
Le prix Atrapallibres pour El lladre d'entrepans
Belle nouvelle en provenance de Barcelone. Notre Voleur de sandwichs vient d'y remporter le prix Atrapallibres dans la catégorie 9 ans.
El lladre d'entrepans a été publié par la maison d'édition Cruïlla.
Les prix seront remis le 4 juin à la bibliothèque Jaume Fuster.
El lladre d'entrepans a été publié par la maison d'édition Cruïlla.
Les prix seront remis le 4 juin à la bibliothèque Jaume Fuster.
Moltes gràcies a tots vostès. Gràcies a l'editorial Cruïlla. Viu llibres
il·lustrats i sobretot ... mira els teus entrepans.
24 mai 2018
Un nouvelliste atteint de lucidité chronique
Voici une critique de L'oeuvre incomplète d'Amilcar Torpp publiée sur le site Culture Hebdo:
« Le plaisir de lire est doublé quand un écrivain élève le niveau avec des tournures de styles, des métaphores, des envolées lexicographiques qui nous font jubiler. C’est exactement à quoi vous risquer d’être confronté en fréquentant André Marois (la littérature française avait déjà son André Maurois). Sur des illustrations de Pierre Pratt l’homme de lettres présente L’œuvre incomplète d’Amilcar Torpp. Ne vous attardez pas trop au titre, c’est comme s’il fallait en trouver un. Ce sont des nouvelles avec pour chaque chapitre un univers particulier. C’est comme un musicien qui fait des gammes, lui se joue de la nouvelle comme un virtuose qui tutoie l’excellence. Mais ce qui frappe c’est qu’il est sans doute atteint de lucidité chronique car son sens de l’observation est renversant. Que du bonheur à chaque page. Dans le genre de la nouvelle, vous avez ici l’équivalent d’une classe de maître. »
J'en suis baba.
« Le plaisir de lire est doublé quand un écrivain élève le niveau avec des tournures de styles, des métaphores, des envolées lexicographiques qui nous font jubiler. C’est exactement à quoi vous risquer d’être confronté en fréquentant André Marois (la littérature française avait déjà son André Maurois). Sur des illustrations de Pierre Pratt l’homme de lettres présente L’œuvre incomplète d’Amilcar Torpp. Ne vous attardez pas trop au titre, c’est comme s’il fallait en trouver un. Ce sont des nouvelles avec pour chaque chapitre un univers particulier. C’est comme un musicien qui fait des gammes, lui se joue de la nouvelle comme un virtuose qui tutoie l’excellence. Mais ce qui frappe c’est qu’il est sans doute atteint de lucidité chronique car son sens de l’observation est renversant. Que du bonheur à chaque page. Dans le genre de la nouvelle, vous avez ici l’équivalent d’une classe de maître. »
J'en suis baba.
13 mai 2018
Tuer pour dessiner
La première critique de notre Oeuvre incomplète d'amilcar Torpp est parue dans Le Devoir sous la plume de Fabien Deglise.
Elle se finit ainsi: «C’est étrange et brillant à la fois. C’est ludique et bien ficelé, mais au final, c’est surtout aussi mystérieux comme objet que le destin du personnage qui en occupe le centre.»
Merci!
https://www.ledevoir.com/lire/527494/tuer-pour-dessiner
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