28 février 2013

Écrire pour les ados ?












Lors d'une entrevue avec quatre auteurs pour l'excellent site Zone d'écriture de Radio-Canada qui parlait de littérature jeunesse vs littérature adulte, j'ai avancé l'idée que l'écriture pour adolescents représentait une 3e voie bien distincte.

Suite à cette proposition, le site a demandé leur avis à deux écrivains qui oeuvrent aussi pour les ados: François Gravel et Catherine Girard-Audet. On peut lire nos entrevues croisées ici.

La difficulté est de ne pas écrire bébé, tout en gardant une petite gêne dans la manière d'aborder certains sujets. Dans mon cas, j'évite l'horreur, le sexe cru et la violence gratuite - par exemple - mais je ne m'interdis d'aborder aucun thème.

En fait, les lecteurs adolescents se rappochent plus des adultes que des enfants. De même que de nombreux adultes lisent Hunger Games et Harry Potter, même si ça ne leur est pas à priori destiné.

On lira cet exposé très fouillé sur le site de littérature jeunesse de Lille III: Ecrire pour les adolescents, écrire pour les adultes. Jean-Paul Nozière et Christian Lehmann.

À lire en ligne: écrire pour les jeunes et les adultes - partie 1 et partie 2.

27 février 2013

FACE/AD/BLOG


Photo: Monic Richard
J'ai participé à ce projet en tant que rédacteur + journaliste + traducteur.
À suivre en ligne ici.
La version papier grand format est en tirage limité. On la trouve dans certaines agences de pub à Montréal et au MBAM.

26 février 2013

Les Voleurs de mémoire : on en parle

J'ai parlé des Voleurs de mémoire à l'émission Contes de faits. sur CKRL 89,1 à Québec.
On peut écouter l'entrevue en intégralité ici.

Le blogue Sophie Lit présente deux critiques sur Les Voleurs d'espoir et Les Voleurs de mémoire.
Extrait: «André Marois place d’entrée de jeu les changements qui ont eu lieu depuis l’histoire mettant en scène Hugo. En quelques paragraphes, la chaleur est bien installée ainsi que le mystère autour de la Grure, cette maladie terrible. Le suspens porte d’ailleurs une grande partie du récit et cela m’a captivée jusqu’au dénouement, bien trouvé et effrayant dans sa façon d’être possible.»

Dans Le Devoir du 19 janvier, Frédérique Doyon présente mon roman ainsi: «Les voleurs de mémoire, d’André Marois (La Courte Échelle, janvier) est une des rares dystopies, en roman jeunesse, campées dans la société québécoise. En 2039, une épidémie de grure, maladie qui efface la mémoire, gangrène la population. Lola, 15 ans, l’aînée de la nouvelle génération des Québécois, devra combattre le mal par le mal…»
À lire ici.

Enfin, sur le site Zone d'écriture, je parle de littérature pour ados vs jeunes. 
À lire ici.

On peut feuilleter mon roman en cliquant ici


25 février 2013

Grosse fin de semaine en vue

Samedi 2 mars, je serai au Salon du livre de lOutaouais.
Stand 348 La courte échelle
12h30 à 14h00
17h00 à 19h00

Retour à Montréal en autobus le jour-même et direction La nuit blanche où je participe, avec 19 autres écrivains de l'UNEQ à l'événement 10x10 Textes et Textiles.
J'y serai de minuit à 3 h du mat, pour six lectures de dix minutes.
Je lirai le premier chapitre de La Fonction aux curieux qui seront assez proches pour m'entendre.
Ça se passe au Marché Bonsecours, plus précisément au Musée du costume et du textile du Québec, soit le 363, rue de la Commune Est.

21 février 2013

La fonction - 4 (bonnes) critiques

Dans Le Devoir du 16 février, Christian Desmeules écrit: «Imaginez un instant que vous puissiez, une seule et unique fois dans votre vie, revenir une minute en arrière. Le temps qu’il suffit pour zapper un drame, remettre un bras en place, éviter un accident, réécrire l’Histoire. Cette idée un peu folle est au coeur de La Fonction, dernier roman d’André Marois, bon représentant du roman noir québécois et prolifique écrivain pour la jeunesse...»
Critique complète en ligne ici.

Dans le Huffington Post Québec, Daniel Marois signe un long et complet article au sujet de La Fonction.  Extrait: «André Marois s'amuse à perturber notre monde contemporain en introduisant un don universel, créant ainsi une réalité parallèle. Le système d'éducation est bâti autour de la Fonction pour éviter que les enfants utilisent ce moment unique pour des causes puériles. Le libre arbitre des Hommes devient un danger permanent. La Fonction peut devenir un instrument d'une rare torture dans de mauvaises mains. Elle peut également être vendue au plus offrant, favorisant ainsi les mieux nantis. On imagine les possibilités infinies pour un écrivain de la trempe d'André Marois dont l'imagination fertile n'est plus à souligner....»
Critique complète en ligne ici.

À l'émissison de TVA, Salut, Bonjour, Chrystine Brouillet a dit le plus grand bien de mon roman: «...Un roman très curieux qui nous happe dès les premières pages: on ne peut s'empêcher de se demander comment on agirait si on avait une Fonction. Un rythme constant, des rebondissements, une histoire qui oscille entre le polar et le fantastique. Très réussi!»
Émission en ligne ici.

Enfin, dans le magazine 7 jours, on me donne un A-, avec une autre très bonne critique: «André Marois a créé un univers glaçant et fascinant qui sucite constamment les questionnements philosophiques.»

   

01 février 2013

La Fonction - 2 critiques

Premier papier pour La Fonction avec cette longue et généreuse critique dans la revue Le Libraire, qu'on peut lire ici.
Extrait: «Écriture concise et rythme, enjeu et personnages torturés : c’est ce qu’on exige en général d’un polar. Ici, toutefois, se trouve ajouté quelque chose comme un supplément d’âme, qui aura de quoi plaire aux lecteurs parfois largués par des écritures qui tiendraient le contenant pour accessoire.»
La photo est l'oeuvre de Julia Marois.

De son côté, le blogueur Richard Migneault signe un papier sur son excellent blogue Polar, noir et blanc. On peut le lire en ligne ici.
Extrait: «Et, en excellent auteur de romans noirs, André Marois réussit à nous impliquer pleinement dans ces drames humains. On s’y sent complètement immergé, presque obligé de prendre position, de porter un jugement, de regarder Franck et Rosa et de se demander, comment nous nous aurions agi. De plus, à certains moments, il nous martèle, en pleine figure, une série de mots choc, comme une série de jabs puissants, cherchant le KO au dernier round.»

Plutôt formidable, quant à moi.