Pour la première fois, je participerai au Congrès Boréal qui traite de science-fiction, fantastique, fantasy, imaginaire et horreur au Québec. Il se tiendra à Mont-Laurier du 20 au 22 mai 2016.
Je partiperai à la table ronde sur le Québec du futur ainsi présentée: Pendant longtemps, les auteurs de science-fiction d'ici n'ont pratiquement pas abordé l'avenir du Québec. Depuis une vingtaine d'années, toutefois, c'est de moins en moins vrai. Les utopies et les dystopies se multiplient, de _La Québécie_ de Francine Lachance aux _Rois conteurs_ de Frédéric Parrot, en passant par la série « Élise ». D'autres auteurs se contentent de faire du Québec une toile de fond futuriste, comme François Bellavance. Dans quel camp se rangent nos participants? La mise en veilleuse des grands questionnements politiques a-t-elle facilité le choix du Québec de demain comme cadre de plus en
plus normal? Et quelles visions du Québec à venir nous réservent les auteurs d'aujourd’hui?
Table ronde animée par Jean-Louis Trudel, avec André Marois, Simon-Pierre Pouliot alias Vic Verdier, Caroline Plouffe, Caroline-Isabelle Caron et Bruno Massé
Samedi 21 mai de 16h à 17h
J'y parlerai donc de ma trilogie des Voleurs publiée à la Courte échelle.
Les littératures policière et de l'imaginaire se côtoient sans se mélanger, avec leurs auteurs, leurs codes, leurs revues et leurs événements. Pour preuve, aux mêmes dates se tient à Knowlton le festival de littérature meurtrière Les Printemps meurtriers.
17 mai 2016
12 mai 2016
Le Prix Livrentête pour Le Voleur de sandwichs
Le Voleur de sandwichs remporte le Prix Livrentête 2016 dans la catégorie Premiers Romans (8-10 ans) en France.
Décerné par L'Union Nationale Culture et Bibliothèques Pour Tous, avec le soutien du Ministère des Sports, de la Jeunesse, de l'Education populaire et de la Vie associative de France, ce prix a pour objectif de faire lire aux jeunes lecteurs des livres de qualité et de découvrir le travail des auteurs, illustrateurs et éditeurs.
De septembre 2015 à mars 2016, chacun des jeunes participants lisait les 5 livres finalistes de la catégorie choisie et votait pour son roman préféré.
C'est la joie!
Décerné par L'Union Nationale Culture et Bibliothèques Pour Tous, avec le soutien du Ministère des Sports, de la Jeunesse, de l'Education populaire et de la Vie associative de France, ce prix a pour objectif de faire lire aux jeunes lecteurs des livres de qualité et de découvrir le travail des auteurs, illustrateurs et éditeurs.
De septembre 2015 à mars 2016, chacun des jeunes participants lisait les 5 livres finalistes de la catégorie choisie et votait pour son roman préféré.
C'est la joie!
07 mai 2016
Bienvenue aux critiques ?
Les critiques de Bienvenue à Meurtreville sont plutôt contrastées.
Dans La Presse, Norbert Spehner me donne
quatre étoiles et ne boude pas son plaisir : «Bienvenue
à Meurtreville est un court récit tout droit sortie
de l'imagination retorse d'André Marois, qui manie un humour noir férocement
jouissif. Cette singulière variation sur le thème éculé du tueur en série est
particulièrement originale et réussie. Un plaisir de lecture tout à fait
coupable!»
À l’émission Salut Bonjour sur TVA,
Chrystine Brouillet a aussi beaucoup aimé : «L’humour noir à son meilleur!
Une intrigue qui se tient parfaitement, un cadre bucolique inusité, des
personnages truculents : un résultat absolument réjouissant!»
Sur le blogue Sang d’encre Polars, Michel
Dufour est lui aussi très heureux de sa lecture : «Partant de ces prémisses
simples, Marois compose une jolie histoire de solidarité et de sang. Pas de
plongée dans les profondeurs de la psyché, pas d’analyse sociologique
structuralo-dialectique, pas de déviance sadomasochiste qui favorise
l’insomnie. Marois a une idée et il la développe avec cohérence et une grande
force d’attraction; un petit nombre de personnages importants s’y greffent
naturellement; puis, on a l’impression que l’histoire se déroule toute seule. À
la sortie du livre, nous ne sommes peut-être pas plus savants, mais nous avons
passé un sacré bon moment.»
Enfin - je gardais le pire pour la fin -
dans Le Devoir, Michel Belair n’est vraiment pas d’accord avec ses collègues.
Il m’assassine, me flingue à bout portant, ne trouvant aucun humour dans cette
idée de roman noir. Il ne m’accorde aucune circonstance atténuante. Quand la
critique est à ce point négative, est-ce signe que le livre ne laisse pas
indifférent?
À méditer.
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