Pour l’humour très noir
Moi contre les Etats-Unis d’Amérique de
Paul Beatty (Cambourakis)
Pour l’écriture magnifique
Imago de Natalie Jean
(Leméac)
Pour l’intelligence artificielle
Ada
d’Antoine Bello (Gallimard)
Pour le style et la dureté
Grossir le ciel de Franck Bouysse (Livre de poche)
Pour le bonheur de lire
La succession de Jean-Paul Dubois (L’Olivier)
Pour le trouble
Histoire de la violence d’Édouard Louis (Seuil)
Pour la femme qui prend la mer
Le grand marin de Catherine
Poulain (L’Olivier)
Pour l’absence de pudeur
Un homme amoureux de Karl
Ove Knausgaard (Denoël)
Pour un polar historique captivant
Et ils oublieront la colère
d’Elsa Marpeau (Série
Noire)
Pour les gentils et méchants pauvres
Le chemin s’arrêtera là de Pascal Dessaint (Rivages)
Pour le Québec côté noir
Sans terre de Marie-Ève
Sévigny (Héliotrope)
Pour l’appétissante mise en bouche
Le gourmet solitaire de Jiro
Taniguchi (Casterman)
Pour la réflexion sur la mémoire
Un présent infini de Rafaële
Germain (Nouveau projet)
Pour la beauté
Louis parmi les spectres de
Fanny Britt et Isabelle Arsenault (La Pastèque)
Pour le style, les personnages et tout
Lazy bird d’Andrée A Michaud (Québec Amérique)
Ma plus grosse déception
Envoyée spéciale de Jean Échenoz (Minuit) - Tant de talent gaspillé dans une
histoire qui sent la recherche Wikipédia et le n’importe quoi.