15 avril 2009

Ses histoires finissent mal, en général...

Un nouvel article au sujet de ma résidence, dans le quotidien Sud-Ouest, avec un titre emprunté aux Rita Mitsouko.
Ça commence ainsi: Sous le soleil d'avril, en tee-shirt, André Marois semble plutôt heureux de participer depuis le début du mois à une résidence d'artiste au château Garros. « C'est agréable d'être ici, de n'avoir qu'à écrire en sachant qu'il neige encore au Québec », confie l'auteur.

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