28 octobre 2010

Ne boudons pas notre plaisir

Voici trois critiques plutôt très positives concernant Mesures de guerre.

Tout d’abord, Claudia Larochelle lors de l’émission Vous m’en lirez tant du dimanche 17 octobre 2010.

«... Une ambiance incroyable. On retrouve la plume efficace et captivante de Marois, avec une manière très simple de vulgariser les événements d’octobre 1970 à travers la fiction...»

On peut écouter l’intégrale ici.


Claudia Larochelle est une journaliste en lockout du Journal de Montréal. On peut aussi la lire sur le site RueFrontenac.com


Ensuite, deux libraires de chez Pantoute, librairie bien connue de Québec.

Christian Vachon :

«... Gabriel se dit qu'il aurait mieux fait de rester à jouer avec ses soldats en plastique plutôt que se mêler d'une histoire de femme séquestrée dans sa rue. Il a failli provoquer la mort de la victime en enquêtant. «Mais c'est la faute des autres, personne ne veut jamais le croire. Bien sûr, s'il n'inventait pas tout le temps des histoires tirées par les cheveux, on le prendrait plus au sérieux. Mais son cerveau marche tout seul, malgré lui. C'est compliqué». Une histoire qui donne autant envie de rire que de pleurer. Un peu comme mes souvenirs de la crise d'octobre.»

Texte complet ici


Tania Massault :

«Nous rentrons avec plaisir dans le monde de Gabriel, jeune garçon de 10 ans, dont les occupations préférées sont les Canadiens et les jeux de guerre dans les ruelles de Montréal... André Marois nous offre la vision édifiante d'un enfant sur la crise d'octobre 1070. Certes Gabriel est dépassé par ce qui arrive mais il en reste néanmoins le témoin comme ce fut le cas de cette génération. Ce livre permettra à de jeunes lecteurs de se faire une idée des évènements survenus au Québec durant cette année dramatiquement célèbre.»

Texte complet ici

2 commentaires: