Mardi matin, à l’heure où blanchit la campagne, nous quittons Lisbonne. Je pars avec des images plein la tête et un projet de livre que m’a proposé Pierre Pratt. Une idée comme je les aime : inattendue, inspirante, originale, ouverte... À suivre.
Jusqu’à vendredi, nous serons à Amsterdam, une ville où nous rêvons de vivre. Nous y fêterons mes 53 ans.
Jeudi 22 mars, nos enfants, colègues et amis manifestent à Montréal contre la hausse des droits de scolarité. Le mouvement prend beaucoup d’ampleur et c’est motivant. L’université Concordia, dont fait partie mon fils, participe à cette grève. C’est la première fois qu’une université anglophone québécoise se met ainsi en grève avec ses consoeurs francophones. Il est temps que monsieur Charest entende ça !
Un groupe d’écrivains solidaires s’est créé sur Facebook. J’en fais partie.
Vendredi 23 mars, lancement du dernier numéro de l'excellente revue Zinc, autour du thème de la laideur. J’y ai écrit une nouvelle intitulée Féo à la plage. Un texte mexicain, plus poétique qu’à mon habitude. Le lancement aura lieu à la Maison de l'architecture du Québec (181 Saint-Antoine Ouest, métro Place-d'Armes) de 17h à 19h.
Je n’y serai pas, car nous décollons pour l’Indonésie.
Je vais y retrouver mon vieux pote Pascal Hierholz, avec qui j’avais émigré de Paris en 1992. Ensemble, nous avons publié Passeport Pathogène chez Héliotrope, qui mêlait un court polar inspiré de Pascal, à ses croquis de voyages. Il y aura peut-être une suite.
À partir de samedi 24 mars, c’est une autre histoire...
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