15 septembre 2022
Milieu Hostile
Je signale cette longue entrevue que j'ai acordée au site MILIEU HOSTILE, sous la plume de Christophe Dupuis.
Il y est question de roman noir, du Québec, des niveaux de langue française, de l'écriture, de mes sources d'inspiration et de quelques canettes de Kronenbourg 1664 blanche...
Commençons par une question à Yves Jolivet, son éditeur français : qu’est-ce qui vous a plu dans ces deux romans ?
Yves Jolivet : La lecture de Bienvenue à Meurtreville a été jubilatoire. C’est un peu comme si les personnages de la BD des Vieux fourneaux se mettaient à défourailler et à empiler les cadavres pour développer l’animation et l’économie de Mandeville, un village perdu dans les Laurentides, au Québec. L’ouvrage contenait beaucoup de critères pour être édité chez nous: de la nature à foison, de l’efficacité, un tueur en série effectuant des meurtres décalés, le tout dans une écriture légère et humoristique.
Si Irrécupérables n’est pas exactement la suite du premier ouvrage et peut se lire indépendamment, quand bien même l’intrigue se situe toujours à Mandeville, l’ouvrage est toujours aussi hilarant, un peu plus noir cependant et la fin de l’ouvrage conserve sont lot de surprises pétaradantes dans la continuité de l’ouvrage précédent.
Publié par
André Marois
Catégorie :
Bienvenue à Meurtreville,
Héliotrope,
Irrécupérables,
Le mot et le reste
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