La couverture du 1er livre a été refaite. |
Au début, il y a la
novella 9 ans, pas peur, surgie du néant. Je sais toujours d’où
viennent chacune de mes histoires, courtes ou longues. Celle-ci est l’exception
qui confirme la règle.
J’ai eu beaucoup de bons
commentaires de lecteurs concernant ce livre et ça m’a donné envie d’écrire un
deuxième volet à ce cycle qui deviendra probablement une trilogie.
Pour 10 ans, pas méchant, j’ai gardé un narrateur enfant, mais celui-ci est
différent du Angélito de 9 ans, pas peur.
Et je sais précisément d’où m’est venue l’inspiration.
Ce que l’enfant raconte
au début est un souvenir personnel. J’ai eu ce geste violent quand j’étais
gamin et je ne me le suis jamais expliqué. Ça aura au moins servi à quelque
chose...
Pour le reste du récit,
j’ai pioché dans d’autres moments vécus de ma jeunesse, revus à ma manière. Grand
bonheur d’écriture et direction littéraire réalisée par Grégory Lemay.
Voici le 4e
de couverture :
Le garçon a dix ans, une mère et une petite soeur. Des
copains, aussi. Il s’amuse bien, comme il dit. Son père est mort sur un
chantier de construction et le fils se demande si ses mauvaises blagues y sont
pour quelque chose. Et puis, il y a Luigi, l’ami de son père, qui rend trop
souvent visite à sa mère. Le garçon ne l’aime pas. Quelle méchanceté
pourrait-il inventer pour l’éloigner ?
André Marois a puisé dans ses souvenirs d’enfance pour
raconter cette histoire d’où il ne sort pas grandi. Après la candeur du jeune
héros de 9 ans, pas peur, la malice de cette histoire très noire surprend comme
un retour de bâton vraiment pas gentil.
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